Destiné exclusivement aux professionnels de santé. Initié et financé par Alexion

Des symptômes
communs
pour une pathologie peu commune

Lorsque vous voyez un patient avec des signes et des
symptômes tels que:

  • Fatigue
  • Douleurs abdominales
  • Dyspnée
  • Dysfonction érectile
  • Dysphagie
  • Anémie

Qu’envisagez-vous comme cause possible?

Saviez-vous que:

44% des patients

avec une hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) ont des douleurs abdominales à la présentation1

cell

80% des patients

avec une HPN présentent une fatigue1

Qu’est-ce que l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN)?

L’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) est une maladie chronique dévastatrice. Dans l’HPN, une activation dérégulée de la voie terminale du système du complément entraîne une hémolyse intravasculaire (HIV) et une thrombophilie, causant une mortalité prématurée et une morbidité significative.2, 3, 4

Les symptômes de l’HPN ne sont pas spécifiques, et associés à la rareté de l’HPN peuvent entraîner d’importants retards de diagnostic.5, 6, 7

Signes et symptômes typiques de l’HPN

Les signes et les symptômes de l’HPN sont très variables et peuvent apparaître avec une fréquence décroissante sous forme de fatigue, anémie, dyspnée, hémoglobinurie, douleurs abdominales, dysfonction érectile et dysphagie.

Image showing typical signs and symptons of PNH
arrow

40%–67%

des décès dus à l’HPN sont causés par une thrombose veineuse ou artérielle11, 12

8-18%

des décès dus à l’HPN sont causés par une insuffisance rénale11

arrow
arrow

47%

souffrent d’hypertension pulmonaire10

Cependant, une intervention rapide peut sauver vos patients.13, 14

Pourquoi le diagnostic précoce de l’HPN est-il nécessaire?

La reconnaissance rapide des signes et des symptômes de l’HPN et le diagnostic précoce sont cruciaux pour la prise en charge de la maladie.13, 14

Sans traitement ciblant le complément, l’HPN est de mauvais pronostic.15

Il en résulte que 20-35% des patients non traités avec une HPN décèdent dans les 5-6 ans du diagnostic.†11

Des études de cas de patients HPN vont arriver prochainement

Patients avec HPN recevant de soins de support historiques.

Why early diagnosis of PNH is needed

Tests/Orientation

La lactate déshydrogénase est le biomarqueur établi de l’hémolyse intravasculaire dans l’HPN.16

Si la LDH est ≥ 1,5 x limite supérieure de la normale (LSN), une HPN peut être suspectée.17

Les patients avec LDH ≥ 1,5 x (LSN) sont :

7x

plus à risque de développer des évènements thromboemboliques que les patients avec une LDH<1,5 x LSN.17

5 fois

ont un taux de mortalité 5 fois supérieur par rapport à la population générale.13

En présence de signes et de symptômes d’HPN, envisagez de demander des test supplémentaires et orientez le patient vers un hématologue et procédez à un suivi pour la prise en charge des pathologies internes sous-jacentes.7, 18

Vous jouez un rôle majeur dans le parcours diagnostique7

Icon

Évaluer

Icon

Tester

Icon

Orienter

LDH: Lactate déshydrogénase
*Veuillez noter qu’il existe des différences régionales pour la capacité des professionnels de santé à demander des tests.
Les informations sur cette page sont destinées à informer les professionnels de santé. Elles ne remplacent pas un jugement par un professionnel de santé ou un diagnostic clinique.

Le patient se présente

arrow

Le MG évalue le patient

arrow

Le MG identifie les signes et les symptômes liés à l’HPN (fatigue, anémie, dysphagie, dyspnée, dorsalgie, dysfonction érectile, hémoglobinurie, hématurie, hypertension pulmonaire)

arrow
arrow
Icon

Références bibliographiques :

  1. Scherezenmeier H, et al. Haematologica. 2014;99(5):922-929 and Supplemental Information.
  2. Risitano AM, et al. Blood. 2009;113(17):4094 - 4100.
  3. Berentsen S, et al. Ther Adv Hematol. 2019;10:1–20.
  4. Hill A, et al. Blood. 2013;121(25):4985 - 4996.
  5. Parker CJ. Am Soc Hematol Educ Program. 2011;2011:21–29.
  6. Hillmen P, et al. N Engl J Med. 1995;333(19):1253-1258.
  7. Sahin F, et al. Am J Blood Res. 2015;5(1):1-9.
  8. Nishimura J, et al. Medicine (Baltimore). 2004;83(3):193-207.
  9. Mitchell R, et al. SM Clin Med Oncol. 2017;1(1):1001.
  10. Hill A, et al. Br J Haematol. 2010;149(3):414-425.
  11. Hillmen P, Muus P, Röth A, et al. Br J Haematol. 2013;162(1):62–73.
  12. Sharma VR. Clin Adv Hematol Oncol. 2013;11 Suppl 13(9):2-8.
  13. Jang JH, Kim JS, Yoon SS, et al. J Korean Med Sci. 2016;31:214–221.
  14. Borowitz MJ, Craig FE, DiGiuseppe JA, et al. for Clinical Cytometry Society. Cytometry B Clin Cytom. 2010;78B:211–230.
  15. Loschi M, Porcher R, Barraco F, et al. Am J Hematol. 2016;91(4):366–370.
  16. Risitano AM, et al. Front Immunol. 2019;10:1157.
  17. Lee JW, et al. Int J Hematol. 2013;97(6):749–757.
  18. Barcellini W, Fattizzo B. Dis Markers. 2015;2015:635-670.
arrow